samedi 3 septembre 2011

27 Aout 2011

Pour ce premier séjour de chasse aux cailles en Roumanie, nous ne savions pas ce qui nous attendait car lors de mon dernier séjour l’hiver dernier elles avaient déjà quitté les lieux pour des terres aux températures plus clémentes.
Première surprise agréable à l’aéroport pour les chasseurs, les formalités douanières ne prennent que quelques minutes et l’accueil est agréable.
Notre véhicule nous attend pour nous diriger vers notre lieu d’hébergement, il nous faudra un peu plus de deux heures et demie pour l’atteindre car la traversée de Bucarest en cette fin de semaine nous fait perdre un peu de temps.
Arrivé dans la soirée nous sommes répartis dans nos « cabañas »


5h30 le lendemain matin un petit déjeuner copieux et nous nous rendons sur le territoire à quelques km de là où nous attendent les guides dans une immense plaine.



Nous nous plaçons en ligne les 3 guides s’intercalent et l’épagneul breton et le Drahthaar commencent leur recherche, une vingtaine de mètres dans ce chaume de Colza Sali de nombreuses adventices et la première caille vole stoppée net par Mario.

Ayant l’habitude  de compter le nombre de perdrix levées en Uruguay, je tente de compter le nombre de cailles qui se lèvent devant nous. Le temps est très sec et les deux chiens d’arrêts qui nous accompagnent malgré leur grande expérience ne pourront bloquer qu’un faible pourcentage d’oiseaux, leur efficacité de retriever nous sera bien utile.

Les guides semblent un peu déçus de la densité et nous confirment à l’analyse du tableau que la majorité des cailles prélevées sont des oiseaux locaux nés sur place.
Les cailles de migration sont un peu plus petites et la couleur de leurs pattes sont plus claires nous explique un des guides.
A la fin de la matinée le total de levées est de 175 près de la moitié compose ce premier tableau grâce à l’adresse de l’équipe de chasseur qui pourtant n’ont jamais eu l’occasion de chasser la caille dans de telles proportions.
Vers 10h30 nos chasseurs satisfaits de cette première sortie, et la chaleur aidant nous décidons de rentrer.
Après un repas composé de diverses viandes de chasse ( chevreuil, chamois, daim) une très courte sieste et nous repartons pour chasser la Tourterelle sur un des nombreux champs de Tournesol arrivant à maturité.
Nous nous plaçons quelques mètres à l’intérieur  de la culture, dès le premier tir, environ 200 tourterelles turques, se lèvent et nous repassent sur la tête. Il fait chaud environ 35º les guides servent de retriever car les chiens auraient bien du mal a travailler dans ces conditions.
 Cette première journée sera riche de commentaires le soir autour d'un verre...

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